Mikaël Hirsch a l’art des fictions calées au millimètre, ce qui n’exclut pas une vraie sensibilité poétique et un regard pénétrant sur le monde et les humains.
Jean-Didier Wagneur
(Source : Libération, 7-8 octobre 2023)
Mikaël Hirsch a l’art des fictions calées au millimètre, ce qui n’exclut pas une vraie sensibilité poétique et un regard pénétrant sur le monde et les humains.
Jean-Didier Wagneur
(Source : Libération, 7-8 octobre 2023)
Les Corps flottants tient à la fois du labyrinthe et du puzzle. La structure complexe et ambitieuse mise en place par Mikaël Hirsch ne l’empêche nullement d’être un raconteur d’histoires captivant et étonnant.
Alexandre Fillon
(Source : Le Figaro, 5 octobre 2023)
Éric Naulleau
(Source : Transfuge, septembre 2023)
Youness Bousenna
(Source : Télérama, septembre 2023)
L’astrophysicien Isaac Bahir cherche à révéler l’existence d’une matière invisible. Propulsé dans le passé, il revit plusieurs fois l’éclipse totale de 1999 où, en compagnie de Miranda et Walter, il a enterré une capsule temporelle à destination de leurs moi futurs. À l’heure où les blockbusters se repaissent des combinaisons infinies du multivers, Mikaël Hirsch entremêle solitude existentielle et hypothèses quantiques dans un roman ambitieux qui évoque autant Houellebecq que Christopher Nolan.
F. DE.
(Source : Focus Vif, 30 août 2023)
Entre Tibet interdit et cocon bourgeois d’un pays neutre endormi, King Kong de Cooper et Schoedsack et yéti du Valais, l’ouvrage interroge le refuge de l’imagination lorsqu’elle cherche à se prémunir contre la réalité. Communautarisme du numerus clausus, apartheid de classes, utopies exsangues : avec une belle envergure, Mikaël Hirsch dépiaute le splendide isolement auquel tout un chacun aspire. « Il y avait une jouissance à se couper du monde, une ivresse de l’asphyxie. » Mystérieux et envoûtant.
F. DE.
(Source : Le Vif / L’Express, 4 avril 2022)
L’écriture, souple mais précise, studieuse sans être sévère, contribue sans doute à ce que lectrices et lecteurs se laissent prendre par la main, par un auteur qui aime à raconter des histoires.
Amandine Glévarec
(Source : Le Courrier de Genève, 25 mars 2022)
Le lecteur ira ici de surprise en surprise. Mikaël Hirsch varie les rythmes et les registres. Et fait
apparaître dans son récit la figure du bien réel Petr Ginz qui a donné son nom à l’institut et a grandi dans la communauté juive de Prague. Puis celles des alpinistes helvètes Augusto Gansser et Arnold Heim fascinés par le Tibet. Ne pas s’étonner d’être enfin transporté dans le New York de l’après 11 Septembre. Puzzle fascinant, «Le Syndrome du golem» est aussi ambitieux que réussi.
Alexandre Fillon
(Source : Sud Ouest, 24 mars 2022)
Vif et coloré, le syndrome du golem est un roman souvent drôle, cependant zébré par les secrètes blessures, les détresses sans nombre et les regrets irréversibles que provoque l’échec d’une utopie.
Sébastien Lapaque
(Source : Le Figaro, 17 mars 2022)
On retrouve dans ce roman les thèmes chers à Mikaël Hirsch ; la tentation de s’enfermer pour se protéger, ces ghettos privés volontaires qui se multiplient. Sur une disneylandisation du monde, on crée un univers artificiel séparé du monde vrai. Des clins d’oeil multiples au cinéma avec King Kong, ou Frankenstein qui revisite le mythe du golem.
Un roman où la vérité historique prend des allures de farce pour le bonheur et la curiosité du lecteur.
Nadine Dutier
(Source : Encres Vagabondes, 14 mars 2022)
Pour son neuvième roman, Mikaël Hirsch se livre à une méditation fantastique et onirique sur l’espéranto
Olivier Maulin
(Source : Valeurs Actuelles, 10 février 2022)
Didier Jacob
(Source : L’Obs, 3 février 2022)
Les textes, mis en collier, forment un livre à tiroirs déroutant, comme une méditation sur le vingtième siècle, temps des utopies et des catastrophes.
Bernard Quiriny
(Source : L’Opinion du 25 janvier 2022)
…ce remarquable roman, dont l’atmosphère empreinte de kabbale rappelle les univers de Kafka et de Borges. A la fois léger et labyrinthique, drôle et mystique, ce « monde clos et minuscule au bord du précipice » offre une parabole littérale de la tour de Babel.
Youness Bousenna
(Source : Télérama 3758, 19 janvier 2022)
Le Syndrome du golem dans la sélection des 20 livres de la rentrée de janvier pour Le Vif/L’Express.
(Source : Le Vif/L’Express, Numéro 02, 13 janvier 2022)
Dans un roman fantastique et joueur qui brasse les époques et les contrées plus ou moins fantasmées, de l’Oberland au Tibet, de Prague à New York, Mikaël Hirsch retrace l’utopie de l’espéranto et interroge le rôle de la fiction dans la marche du monde.
Nicolas Julliard
(Source : RTS, QWERTZ, 12 janvier 2022)
QWERTZ par Nicolas Julliard, sur RTS.
Entretien avec Mikaël Hirsch, auteur du « Syndrome du golem » – 23 min. – le 11 janvier 2022
(Source : Libération, 26-27 mars 2022)
Gilles Brochard
(Source : Service Littéraire, janvier 2022)
Bertrand Leclair
(Source : Le Monde des livres, vendredi 19 novembre 2021)
Le roman de Mikaël Hirsch brille de mille feux. Vous avez aussi rendez-vous avec un poète.
Jean-Claude Lamy
(Source : Service Littéraire N°153, novembre 2021)
Mikaël Hirsch revient de façon romancée sur une polémique qui a défrayé la chronique, celle qui a opposé Joseph Kessel à un anarchiste ukrainien du nom de Nestor Makhno. Cette passe d’armes, qui aurait pu mal tourner, est racontée au travers d’une véritable balade dans l’entre-deux-guerres parisien, entre cabarets torves de Pigalle et fumerie d’opium, entremêlant immigrants russes fuyant la révolution bolchevik et intellectuels français en bordée, de Kessel à Cocteau en passant par Malraux. Que demande le peuple ?
Alexandra Schwartzbrod
(Source : Libération du 23 octobre 2021)
Franck Mannoni
(Source : Le Matricule des Anges N°227, octobre 2021)
Hirsch, par son écriture aussi précise que sensuelle, transforme ce bras de fer entre mâles, contre l’oubli et la calomnie, en affrontement bien plus essentiel, entre le « faire » et le « raconter. »
François Perrin
(Source : Le Vif / L’Express du 7 octobre 2021)
Frédéric Pagès
(Source : Le Canard enchaîné, 6 octobre 2021)
L’assassinat de Joseph Kessel, un livre passionnant où la littérature est au coeur du sujet et qui exhume un pan d’histoire aujourd’hui oublié.
Yves Dutier
(Source : Encres vagabondes)
Deux portraits superbes qui disent la complexité des êtres…
Les notes
(Source : les-notes.fr)
L’Assassinat de joseph Kessel est tout simplement un petit chef d’oeuvre.
Philippe Aubier
(Source : Librairie Fontaine-Haussmann, le mot du libraire.)
Patricia Reznikov
(Source : Lire, septembre 2021)
Mikaël Hirsch mélange histoire et fiction dans cet OVNI littéraire envoûtant.
Bernard Quiriny
(Source : Trois couleurs)
Karine Frelin
(Source : l’Est Républicain, 4 décembre 2016)
Mikaël Hirsch, l’auteur du Réprouvé (2010) et de Avec les Hommes (2013, lire notre article) est de retour aux éditions Intervalles en cette Rentrée Littéraire 2016 avec un roman fin qui met en parallèle deux types d’explorations.
Homme de lettres un peu blasé, le narrateur a excellé dans l’art d’être nègre jusqu’au moment où il s’est immergé dans la vie d’un grand capitaine d’industrie. Un homme travailleur, apparemment venu d’une famille sans histoires… Mais au moment même où l’écriture biographique a lieu la vie du capitaine change d’orientation et le grand homme veut exceller dans tout : la voile, la vie, la conquête et il se lance notamment à la gouvernance d’un territoire. L’histoire de ce chef d’Etat qui n’est pas sans rappeler Apocalypse Now est mise en parallèle avec celle d’une mission d’exploration historique en Amérique du Sud. Ombres ou dictateurs, les hommes ont tous leurs faiblesses, et une finitude certaine qui les fait hanter les terres conquises ou perdues sur le mode du passé.
Aux prises directes avec le lecteur, grâce à la narration ironique et contemporaine du biographe, cette histoire d’exploration, de conquêtes et d’invasion prend des proportions supra-historiques pour venir dire quelque chose de lent, lancinant et profond, sur la nature humaine. Un roman aussi méditatif que plein d’action qui pourrait servire de terreau de réflexion à plus d’un moraliste.
(Source : www.toutelaculture.com)
Écrivain quadragénaire, particulièrement prolifique depuis 2010, Mikaël Hirsch signe un septième roman une nouvelle fois merveilleux de style et d’intelligence.
François Perrin
(Source : Le Vif / L’Express)
Le roman de Mikaël Hirsch est beau, fort et puissant par ce qu’il raconte et oppose avec brio. Il est dense, le romancier excellant dans l’art de condenser en 180 pages ce que d’autres écriraient en 500. Il est intelligent, érudit sans être pédant. Un ouvrage de grande qualité, d’une maîtrise totale, époustouflant. J’ai la sensation que l’écrivain se lâche un peu -et ça lui va bien-, qu’il ose beaucoup plus que dans ses romans précédents qui, tout en étant très bons, étaient un peu plus « retenus ». L’humour en est une preuve, mais ce n’est pas la seule.
Yv
(Lire la suite : Le blog de Yv)
Annie Bandy
(Source : The French Review, décembre 2016)
François Kasbi
(Source : la Quinzaine littéraire)
« Et si la liberté n’était finalement pas une idée, mais bel et bien un endroit… » m’a écrit Mikaël Hirsch en dédicace, c’est exactement cela que Fons et Bernard vont chercher toute leur vie au risque de passer au travers de ce qu’ils vivent au quotidien, de ne pas y trouver leur bonheur -mais est-il un endroit lui aussi ?
Yves Mabon
(Source : Les 8 Plumes)
Un roman de Mikaël Hirsch très XIXème siècle sur la fin des utopies, tuées par le réel.
Jean-Claude Perrier
(Source : Livres Hebdo)
INVITE DU 12/13 MIKAEL HIRSCH pour son livre «Libertalia» SUR RCJ
Partir. Thème récurrent chez Mikaël Hirsch. Partir va beaucoup plus loin que voyager. On peut voyager sur place – c’est sans doute le propre du voyage. Partir sur place ? L’installation dans la folie. On part toujours ailleurs. Près ou loin. Hirsch a un faible pour les lointains.
Didier Bazy
(Source : Salon littéraire)
[…] Mikaël Hirsch n’a pas perdu de temps pour imposer son talent. Si son troisième opus est très différent du précédent, on y retrouve cette qualité d’écriture qui est sa marque : fine mais jamais précieuse, toujours sobre et précise.
Barbara Lambert
(Source : Atlantico.fr)
Les îles Kerguelen sont exigeantes, le climat y est dur et l’isolement ne sied pas forcément à l’établissement de très bonnes relations entre les divers habitants, c’est donc un lieu fabuleux , un contexte très présent, un personnage à part entière du bouquin a-t-on coutume de dire ; pour les romanciers une mine d’or, qui peuvent y construire une histoire humaine forte, ce que fait admirablement Mikaël Hirsch.
Yves Mabon
(Source : L’Express )
À l’heure où les zones blanches sur les cartes se raréfient, que reste-t-il aux hommes, sinon chercher en dessous d’eux, au fond de leur terre d’histoires, une raison à toutes ces vies et mémoires qui ont foulé le globe ? Quelle autre raison que la déraison d’une croyance peut mener les humains à chercher encore à se protéger du fantastique de la vie ? Comme Huxley, Lovecraft ou Jules Verne avant lui, Mikaël Hirsch répond par un roman. Niché au creux de la rentrée littéraire, Notre-Dame-des-Vents protège vos rêves d’enfants.
Abeline Majorel
(Source : La Revue Littéraire )
Deux fois nominé au prix Femina, Mikaël Hirsch poursuit son chemin. Cette fois jusqu’aux îles Kerguelen, sur les traces d’une jeune biologiste chargée, en 1995, d’aller voir par là-bas si le réchauffement climatique y était. Sur place, tandis que la demoiselle noue une idylle avec un technicien, l’isolement conjugué aux mythes et légendes font sombrer tout ce petit monde dans un maelström de paranoïa climatique, de résidus de guerre froide et de bouteilles à la terre.
TGV Magazine
À en juger par la finesse et le tremblé – vivant, palpitant – du portrait, l’amour est bel et bien là.
Point de Vue
Un roman profond et féroce.
TGV magazine 157
Un livre fort, amer et passionné.
Le Télégramme de Brest
Avec les hommes de Mikaël Hirsch, paru aux éditions Intervalles, n’est pas qu’une tendre fable sur les ratés. En faisant jouer la narration contre le narrateur, il ouvre la vaste question des rapports entre la littérature et la vie.
Mouvement.net
Prix Fémina : première sélection dévoilée
Le Figaro.fr avec AFP
Une histoire de retrouvailles entre un écrivain et un vieil ami, dont le récit de vie douloureux, marqué par une quête identitaire un rien désespérée, débouchera finalement sur une réconciliation inattendue, le premier devenant en quelque sorte dépositaire de l’histoire du second. L’ironie un rien amère du début fait progressivement place à une forme d’apaisement inattendu, à mesure qu’une histoire d’amour très émouvante se dessine. C’est un roman surprenant, qui vous mène là où vous ne l’attendiez pas, d’un kibboutz aux trottoirs détrempés de Brest, et porté par une langue riche.
Dominique A
(Source : Comment certains vivent)
Dans le roman français contemporain où la description de muqueuses remplace souvent la peinture des élans du cœur, « Avec les hommes » fait figure d’exception ; c’est une superbe, magnifique histoire d’amour.
Le Nouvel Observateur
Le 2ème livre de l’année 2013 pour Atlantico.fr :
Deux romans, à peine, et déjà deux sélections au prix Femina : Mikaël Hirsh n’a pas attendu de se faire un nom pour imposer son talent. L’histoire commence des plus classiquement par une scène de retrouvailles entre deux anciens camarades de Normale, l’un, devenu Brestois — Paul —, l’autre, écrivain célébré — le narrateur —, de passage dans la cité bretonne à la faveur d’une signature.
Barbara Lambert
(Source : atlantico.fr)
Si vous voulez découvrir un roman entêtant et dense, zébré de lumineuses épiphanies et tramé dans une certaine tradition française, vous y êtes.
François Kasbi
(Source : causeur.fr)
Comédien et metteur en scène, Ivan Morane réunit Marcel Proust et Ferdinand Céline dans un impossible dîner en tête à tête.
La provence
Très audacieuse l’idée originelle de ce spectacle : convier Marcel Proust et Louis-Ferdinand Céline à partager le même repas.
Reg’arts
Un voyage au bout de la vie, à la recherche de l’enfance perdue, aux jours heureux de la tendresse maternelle. Morane excelle dans ce grand écart entre la gouaille de Courbevoie et le ton exquis du faubourg Saint Germain. Surprenant.
La Dépêche
Le style nerveux, maigre, est un bonheur…
Le Figaro magazine
Difficile de marchander avec Mikaël Hirsch _ Entretien…
Standard Magazine
Une déroutante réflexion sur l’image, un brillant roman sur l’art et l’identité…
TGV Magazine
Audacieux portrait d’écrivain, vie littéraire et quête personnelle par une plume brillante et nerveuse…
Notes bibliographiques
Les romans qui continuent de cartonner sont exactement ceux dont tous les journaux avaient prédit le triomphe. On aurait bien aimé que le brillant « Réprouvé »…
Le Nouvel Observateur
Hirsch réussit un beau roman d’apprentissage…
Lire
Ce récit est une merveille…
Le Parisien
Le roman de Mikaël Hirsch se déroule sur fond de déjeuner chez Drouant, événement jugé de la plus haute importance à l’a …
Le Devoir
Le réprouvé dans la deuxième sélection du prix Fémina…
AFP
Mikaël Hirsch signe un roman plein de grâce…
Le Monde des livres
Le réprouvé dans la première liste du Prix Femina…
Le Monde des livres
Un roman en miroir qui approfondit la légende de Céline…
Le Canard enchaîné
Personne n’a lu pareil roman depuis des lustres…
Le Figaro magazine
Un livre très attachant…
Livres Hebdo
Thésée à Célinegrad…
Le Magazine des livres
C’est abrupt mais tendre, douloureux, sans oublier de sourire, mélancolique, parce que lucide, chargé d’une volonté d’être…
Actualitté
Romans français : valeurs sûres et production à la hausse…
Le Monde des livres
Une fièvre, une tension, des audaces et surtout un style qui forcent l’admiration…
Le Nouvel Observateur
Un roman exceptionnel, drôle, original, extrêmement bien écrit…
Livres Hebdo